Bilan 2017 et projets 2018

2017-2018

Ca y est, on vient d’attaquer le premier mois de l’année. Janvier c’est particulier car c’est l’occasion de faire une rétrospective de l’an passé et aussi de formuler les projets qui vont guider la nouvelle année. Quant est-il pour nous? (suite…)

T-shirt imprimé – Le deal du mois

T-shirt imprimé

T-shirt imprimé Seasap

C’est parti! Nous venons de mettre en place le DDM (Deal du mois). Alors comment ça se traduit? (suite…)

Boutique EG Campshare

Bonjour à tous! Comme l’année précédente, EG Campshare ouvre sa boutique de Noël en Ville-Close à Concarneau. Cette année retrouvez l’ensemble de la collection disponibles sur le site en boutique. Notre collection print beachwear et la collection surfwear. Egalement quelques promo/exclu! La boutique ce situe rue Saint Guénolé. Elle sera ouverte de 14h à 18h30 tous les jours sauf le 25 décembre et le 1er janvier 😉 Pour plus d’infos vous pouvez nous contacter par le Facebook, par mail (contact@egcampshare.com) ou par téléphone : 06 77 73 77.

 

A bientôt!

Boutique EG Campshare

Boutique EG Campshare

Présentation de Arthur

1.Peux-tu te présenter?

Arthur, 21ans en 3e année de licence staps. Je pratiques la planche à voile depuis une dizaine d’année et le Supsurf depuis un peu plus de trois ans.

2.A quel âge as-tu commencé le surf?

J’ai commencé le surf petit puis délaissé pour la planche à voile des l’âge de 10ans puis le SUP depuis mes 17ans à peu près.

3.Sur quels spots as-tu eu l’occasion de surfer?

Je surf en majorité du coté de La Torche et sur le home-spot du coin ahha/ Et sinon sur les îles Canaries de temps en temps.

4.Pratiques-tu d’autres sports?

La voile depuis toujours.

5. Quels sont tes projets pour plus tard?

Devenir professeur d’eps, peut-être passé mes BPjeps. Mais surtout profiter à fond!

Arthur en SUPsurf

 

Le week-end dernier (5 et 6 avril) avait lieu un championnat de kitesurf organisé par l’association locale Kitesurf 29. L’événement se déroulait sur la plage de Porsguen à Plouescat.

Selon les propos du président de l’association organisatrice, Fabrice Cailleau, la compétition portait sur la catégorie race. Pendant tout le weekend les candidats ont participé aux régates pendant  lesquelles il fallait relier une bouée à l’autre avec départs groupés. D’aprés le président de l’association, la race est la discipline la plus pratiquée au niveau mondial. Les participants et spectateurs ont pu profiter de la météo clémente de ce week-end avec soleil et vent sur cette 3eme édition nommée « travers de port » qui est le support pour le championnat de Bretagne.

Concernant les participants, il y avait quelques noms connus du kitesurf comme Sébastien Cou de Quiberon (Top 3 français en race), Caroline Adrien de Bénodet (Top 5 mondiaux) et Gildas Courtois (champion de Bretagne  en titre et membre de l’association Kitesurf 29). Au total, une trentaine de compétiteurs étaient présents.

Sur la durée de l’événement, il y avait de nombreuses animations gratuites. Des exposants ont également fait le déplacement pour présenter leur nouveau matos.

Nous n’avons malheureusement pas les scores mais ils doivent être disponibles sur le site de l’association.

 

Info source: letelegramme.fr / Association Kitesurf 29

Le Kitesurf en Bretagne

kitesurf en bretagne

 

Le Kitesurf en Bretagne

Le kitesurf a réellement exposé en Bretagne en 2000. Mais avant la démocratisation de ce sport que l’on connaît actuellement, il y eut un long processus de création et développement. Et cela a commencé sur nos côtes. En 1980, Roland Le Bail invente le Bird Sail à Quiberon, une sorte de planche à voile mais avec la voile détachée du pied de mât. C’est ensuite les frêres Legaignoux de Douarnenez qui prennent le relais. Ils déposent un brevet d’une « aile propulsive à armature gonflable ». A cette époque, ils atteignent déjà la vitesse de 17nds. Entre 1993 et 1994, ils lancent le Wipicat, (Engin gonflable sur lequel on navigue assis). Le Wipicat est produit à 200 exemplaires durant cette période par 2 couturières dans un atelier de Quimper. Il est envisagé de faire produire en partenariat avec NeilPryde mais le projet kite est classé sans suite. A l’époque, l’idée de rider assis sur un module gonflable ne plaît pas.

Cependant les frêres Legaignoux s’accrochent, sûre du succès du kite. En 1997, ils déposent un brevet d’une barre 4 lignes avec coulissement de la ligne centrale dans la barre. La difficulté vient désormais de la capacité à caper du kitesurf, pour être commercialisable, le kite doit pouvoir caper correctement dans une plage de vent correct.  C’est Robby Naish qui, en 2000 durant la Naish Wave Party fait la démonstration d’une aile 4 lignes. Sur l’eau, il fait le spectacle et l’aspect fun l’emporte et le public venant du windsurf qui connaît déjà bien la marque Naish semble être conquis.

Les premiers modèles arrivent dans les shops bretons mais il est vendu sans notice. « C’était la démerde totale » se souvient Gilles Tanguy, alors vendeur au shop Quai 34. Bruno Sroka et Fabienne D’Ortoli se souviennent de longs tests sur le spot des Dunes de Sainte Margerite avant de pouvoir naviguer correctement.

Depuis les années 2000, le kitesurf s’est énormément popularisé sur nos côtes. Il y a maintenant un grand nombre d’adeptes de ce sport. Le matériel est aujourd’hui bien plus sécurisant et abouti. Nombre de véliplanchistes sont passé au kitesurf. C’est pour eux la possibilité de naviguer dans un vent plus light et d’avoir du fun car les gros coups de vent en Bretagne se font rare. Ainsi, le nombre de sessions sur l’année augmente.

Source: Gwalarn- Kite & Windsurf en Bretagne.

Cet été, j’ai testé le SUP gonflable!

En juin il faisait beau et chaud et j’avais bien envie d’allé faire de longues ballades interminable en Stand Up Paddle dans les joli décors breton. Oui mais voilà, un SUP ca prend énormément de place , 3,50m en moyenne. Impossible donc de le rentrer dans sa voiture (barre de toit oblige) difficile de le caller dans son appartement. Enfin bon, tout ca, c’est très encombrant, j’ai donc vite abondonné l’idée. Sauf que, en buvant un verre avec un amie quelques jours après, elle m’apprend qu’elle vient d’acheter un SUP gonflable. Alors au début je me moque d’elle, très dubitatif. Puis au fur et a mesure de son explication je me laisse tenter. Le lendemain, elle me convie a un après-midi test de son nouveau jouet. Elle sort donc un sac de la taille d’un sac pour aile de kitesurf, déplie le paddle, branche sa pompe et le gonfle en 3 minutes. Première prise en main, c’est relativement rigide avec un poid conséquent, environ 10kg. J’ai hâte de voir ce que ca va donner sur l’eau ! Nous nous rendons sur la petite plage en bas du parking avec le SUP gonflable et un SUP normal pour pouvoir comparer. L’objet en question est un Fanatic, je monte dessus, première impression il est large et stable. Il faut bien le gonfler car sinon, ca coule ! C’est parti pour une ballade de 2 heures sur une mer avec un léger clapot mais ca le fait, les deux SUP se tiennent bien bien que les sensations soient différentes. Le gonflable semble plus solide et craint moins des chocs, contre les rochers par exemple. Il est aussi beaucoup plus ludique pour une utilisation en loisir. Au rangement, il se dégonfle facilement mais il y a pas mal de pression, la première fois c’est plutot marrant. Il se plie en 30 secondes et il n’y a plus qu’a le mettre dans le coffre.

Et dans les vagues, ca se passe comment ? Pour y répondre, Florent a testé. C’était la semaine dernière à Pors Carn avec environ 1m de vague et c’est là que les problèmes arrivent, difficultés pour passer la barre, la planche « plie » et en surfant le nose vibre. Pas très radical tout ca, les puristes du genre n’en voudrait pas.

Coté prix, ca varie de 600 à 1300€ et on commence a en trouver dans tout les shops du coin.